Rencontre avec Stéphanie Dayrolle, sage-femme libérale et utilisatrice d’un Aplio i700 WHC de Canon Medical.
Stéphanie Dayrolle nous partage son expérience de sa récente acquisition de l’échographe Aplio i700 WHC, dans sa pratique quotidienne.

Pouvez-vous nous présenter votre parcours professionnel ?

Stéphanie Dayrolle : Sage-femme depuis 1995, j’ai découvert l’échographie au cours de ma pratique en salle d’accouchements et dans les services de grossesses pathologiques, surtout lors d’exercices réalisés en Outre-Mer. J’ai décidé de réaliser le diplôme d’échographie obstétricale en revenant en métropole.

Qu’est-ce qui vous a poussé à vous installer en tant que sage-femme échographiste ?

S. D. : Les vacations d’échographies proposées dans le cadre hospitalier n’étaient que parcimonieuses malgré une offre existante ; j’ai décidé de m’installer, alors en libéral, depuis une dizaine d’années.

Vous avez récemment fait l’acquisition d’un échographe Aplio 700 iseries de Canon Medical. Quels ont été vos critères de sélection dans le choix de l’échographe ?

S. D. : Je travaille depuis un an avec un Aplio i700 WHC de Canon Medical. J’ai été agréablement surprise par la large gamme d’échographes dédiés à l’imagerie de la femme (WHC), leurs caractéristiques haut de gamme, la transparence des tarifs proposés mais aussi leur bon rapport qualité/prix. L’essai a été concluant car j’ai beaucoup aimé la qualité de l’image 2D, le poids de la sonde volumique, le grand écran, la sonde abdominale matricielle active et la facilité de prise en main. L’offre commerciale comme les caractéristiques techniques de l’appareil annoncées ont été conformes à mon attente.

Quelle utilisation faites-vous de cet appareil ?

S. D. : Je pratique essentiellement des échographies obstétricales, datation T1, T2, T3, etc. Et quelques échographies gynécologiques.

Au quotidien, que vous apporte votre Aplio i700 dans l’exploration des patientes à IMC élevé ?

S. D. : L’utilisation de la sonde abdominale matricielle active (très large bande passante) est désormais un outil indispensable pour les examens de patientes avec IMC élevé. En effet, cette sonde me permet d’avoir à la fois une excellente résolution (T2) et une pénétration extrême pour les examens profonds (T3 et IMC élevé). Travailler sans cette sonde n’est plus envisageable dans ma pratique.

Comment s’est passée l’installation de votre échographe ?

S. D. : L’échographe a été installé quelques jours avant le premier confinement, en mars 2020 !
L’installation et la prise en mains ont été rapides et efficaces.

Comment définiriez-vous vos relations avec les équipes Canon Medical ?

S. D. : Les relations avec l’équipe commerciale et d’ingénieurs ont pu être maintenues malgré les périodes de restriction de travail dues à la pandémie de Covid-19. Il y a quelques jours, la première maintenance a été effectuée, je ne peux que remercier le technicien, discret, efficace et consciencieux. Je n’hésite pas à recommander Canon Medical.

Stéphanie Dayrolle et son Aplio i700 WHC

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Parole d’experts : Dr. Philippe Benillouche – C.S.E, Paris

Aside

Interview du Dr. Philippe Benillouche, sur la collaboration du C.S.E avec Canon Medical.
Le CSE est un centre d’imagerie parisien d’excellence, ultra-spécialisé en imagerie de la femme, avec lequel Canon Medical est partenaire depuis sa création en 1989. Nous avons rencontré le Dr Philippe Benillouche, radiologue et cofondateur du CSE, qui revient sur l’histoire de cette collaboration de longue date

DR BENILLOUCHE, VOUS ÊTES RADIOLOGUE ET COFONDATEUR DU CSE, POURRIEZ-VOUS VOUS PRÉSENTER EN QUELQUES MOTS ?

DR. PHILIPPE BENILLOUCHE : J’ai cofondé, le Centre de sénologie et d’échographie (CSE) avec le Dr. Patrick Toubiana, il y a plus de 30 ans. A la création du centre, rue Beaurepaire à Paris 10ème, nous étions deux médecins assistés d’une seule secrétaire. Aujourd’hui, nous sommes une équipe de 15 radiologues qui gère 60 personnes. À cette époque, nous avions fait le choix de développer une unité d’imagerie ultra-spécialisée du fait de notre expérience à l’Institut Gustave Roussy de Villejuif. Notre activité principale était dominée par l’imagerie de la femme, en particulier le dépistage du cancer du sein. Mon associé, Patrick Toubiana, a développé parallèlement un pôle d’imagerie gynéco-obstétricale, où l’échographie a joué un rôle majeur dans la croissance de notre site.

QUELLES SONT LES ORIGINES DE VOTRE STRUCTURE, SON HISTOIRE ?

P. B. : Nous avons fait le choix original et ambitieux à l’époque, de positionner toute notre activité par spécialités d’organe, afin de proposer un diagnostic plus performant. Puis, à chaque étape de notre croissance, nous n’avons eu de cesse que de réunir autour de nous, des jeunes confrères de même spécialité, puis d’autres qui excellaient dans des domaines complémentaires. Notre principale exigence portait sur la nécessité d’entretenir un haut niveau de compétence, grâce à l’utilisation de matériels ultra-performants, l’une des raisons du succès du CSE.

JUSTEMENT, DR BENILLOUCHE, QUELLES SONT LES EXPERTISES PRÉSENTES AU CSE ?

P. B. : Aujourd’hui notre équipe se compose de plusieurs spécialistes du pelvis féminin, tant en échographie qu’en IRM, mais aussi des spécialistes d’imagerie ostéo-articulaire, de l’imagerie abdominale et hépatique, un radiopédiatre, deux doppleristes, une gynéco-obstétricienne, et de nombreux radiologues spécialistes du sein. Nous réalisons également un grand nombre d’examens ORL avec, car nous avons dans notre équipe, une spécialiste de niveau européen de l’imagerie de l’oreille.

UN NOMBRE DE SPÉCIALITÉS SI IMPORTANT, NÉCESSITE DE NOMBREUX ÉQUIPEMENTS. QUELS SONT CEUX INSTALLÉS DANS VOTRE CENTRE ?

P. B. : Notre centre est doté de 13 échographes Canon Medical Aplio a. Cinq sont dédiés à de l’imagerie plus générale, au doppler et à l’imagerie obstétricale et huit sont dédiés à l’imagerie du sein. Nous sommes également équipés de deux scanners et de deux IRM. Mais historiquement la sénologie fait partie de l’ADN du CSE, avec près de 40 000 mammographies réalisées chaque année. Le CSE est l’un des plus grands sites européens privés d’imagerie de la femme, puisque nous recevons quotidiennement près de 500 patientes.

Les échographes Aplio-a de Canon Medical 

COMMENT QUALIFIERIEZ-VOUS L’ÉVOLUTION TECHNOLOGIQUE DES SOLUTIONS DE CANON MEDICAL ?

P. B. : Au CSE, nous cherchons continuellement à bénéficier de la meilleure technologie et des meilleures compétences pour le bien de nos patients. L’innovation chez Canon Medical prend en compte la connaissance du terrain et répond précisément aux besoins des utilisateurs.
Elle n’est pas là pour séduire ou envoyer de la poudre aux yeux. Innover pour innover, cela n’a pas de sens.

COMMENT SE DÉROULE LE PARCOURS DU PATIENT AU CSE ?

P. B. : Avec plus de 300 échographies par jour, toutes spécialités confondues, la vocation du CSE n’est pas d’augmenter le nombre d’examens produits, mais plutôt d’améliorer la prise en charge des patients. Nous avons mis au point une véritable charte de qualité que chaque membre de l’équipe et chaque médecin respecte afin de garantir la performance médicale tout en assurant la sécurité et le confort de nos patients.
Le parcours du patient est pensé depuis la conception architecturale du site, afin de réduire le stress généré par tout examen médical,
tout en préservant l’intimité du patient. Nous mettons également l’accent sur l’importance de la communication avec nos patients et la transmission de l’information au médecin prescripteur de l’examen.
Depuis de nombreuses années, nous disposons d’un réseau de télé-radiologie interne, diffusant l’ensemble de nos échographes, afin de pouvoir bénéficier d’une analyse collégiale, en temps réel et d’améliorer la performance diagnostique dans toutes les circonstances.

VOUS AVEZ ACQUIS RÉCEMMENT 8 ÉCHOGRAPHES APLIO A, QUELS SONT VOS CRITÈRES DE CHOIX ?

P. B. : Ces échographes sont dédiés à notre activité d’imagerie du sein, donc de mammographie à des fins diagnostiques, mais aussi dans le cadre d’imagerie interventionnelle. Dans les services d’imagerie, l’échographie du sein représente souvent le parent pauvre de l’échographie car la valeur diagnostique de cet examen a longtemps été sous-estimée et de plus, la cotation de cet acte est faible. Au CSE, nous avons choisi d’acquérir des plateformes haut de gamme car nous souhaitions bénéficier d’une imagerie bidimensionnelle de haute résolution pour augmenter notre précision diagnostique pour le dépistage précoce du cancer du sein.
L’aplio A avec ses modes d’imagerie Precison+ et Aplipure+ nous permet de détecter et caractériser plus facilement les distorsions architecturales car les images en Haute Définition sont fines avec une analyse précise des contours. Les excellentes résolutions (spatiales et de contraste) additionnées à une pénétration optimale sont les éléments clés pour l’échographie mammaire.
Nous effectuons de nombreuses biopsies sous guidage échographique aussi bien micro que macro. Elles permettent de recueillir une quantité d’informations précises, gage d’un confort pour le diagnostic au service de nos patientes.

CELA RÉPOND-IL À UNE ÉVOLUTION DES PRATIQUES ?

P. B. : Oui. L’imagerie du sein s’est beaucoup modifiée avec le temps. Quand j’ai débuté, les femmes venaient nous voir la plupart du temps parce qu’elles avaient une grosse masse dans un sein. Nous pouvions facilement la caractériser en associant la mammographie à l’échographie. Aujourd’hui, la taille des lésions détectées a nettement diminué. En effet, 90 % des cancers dépistés ne sont pas palpables. Il nous faut donc le meilleur outil possible pour les détecter précocement.

PENDANT TOUTES CES ANNÉES, VOUS ÊTES RESTÉS FIDÈLES À CANON MEDICAL. QU’EST-CE QUI EXPLIQUE CET ATTACHEMENT À LA MARQUE ?

P. B. : Le CSE est resté fidèle à Canon Medical pour de nombreuses raisons. D’abord, l’ergonomie se développe avec la pratique quotidienne sur l’appareil d’échographie : nous en devenons une partie intégrante. Chaque nouveau système est l’aboutissement de l’évolution de la précédente. Il y a toujours eu comme une filiation à travers les évolutions technologiques de ces dispositifs médicaux, qui répondent toujours à nos besoins, sans bouleverser nos pratiques. Je pense que la clé de l’innovation, c’est de savoir écouter les besoins des utilisateurs. Depuis 30 ans, nous suivons le rythme de l’innovation de Canon Medical. Notre expérience repose sur la technologie, mais aussi sur l’humain. Ce dernier point est fondamental. Nous sommes fiers de la relation entretenue avec les équipes. C’est une des raisons de notre attachement à Canon Medical.

L’équipe Canon Medical France

Pour télécharger Interview – Parole d’experts du Dr.Philippe Benillouche, C.S.E

Posted on April 12, 2021 by Communication

Rencontre avec Matthieu Butavant, Manipulateur référent de l’IRM 39 Nord à Dole

Aside

Matthieu Butavant est manipulateur radio au sein de l’IRM 39 Nord, installé à Dole, dans le Jura. Référent à son poste, il a installé l’été dernier une IRM 1,5T de dernière génération, le Vantage Orian, équipé de l’Advanced Intelligent Clear-IQ Engine (AiCE) de Canon Medical.

Il nous parle de son expérience avec ce nouvel IRM et ses rapports avec Canon Medical.

Lire la suite : Interview – Matthieu Butavant, manipulateur référent de l’IRM 39 Nord à Dole

 

Posted on April 7, 2021 by Communication